aimusic.one

Dans le silence des nuits étoilées,  
Les ombres dansent, âmes égarées,  
Sur le parquet du monde endormi,  
Les solitaires se livrent à l'infini.
Leurs pas résonnent, échos de l'absence,  
Chaque mouvement, une douce souffrance,  
Ils tournent et virevoltent, légers comme l'air,  
Dans une valse triste, un ballet de mystères.
Leurs cœurs battent en rythme décalé,  
Des mélodies de rêves abandonnés,  
Ils s'enlacent dans le vide, cherchant l'autre,  
Mais la solitude, complice, les emporte.
Les lumières s'éteignent, les rires s'évanouissent,  
Dans cette danse où l'espoir se fane et s'immisce,  
Les solitaires s'accrochent à leur destin,  
Tissant des fils d'argent dans un ciel incertain.
Oh, douce mélancolie des âmes perdues,  
Chaque pas est une promesse jamais tenue,  
Leurs corps s'entrelacent dans un souffle léger,  
Dans cette danse éternelle, ils apprennent à aimer.
Ainsi va la nuit, ainsi va le temps,  
Les solitaires dansent, malgré le vent,  
Et dans leurs yeux brille une lueur d'espoir,  
Car même seuls, ils savent qu'ils peuvent croire.